Décentralisation

La décentralisation est actuellement le moyen de prévention le plus efficace dans la lutte contre la censure des gouvernements.

Explications

Ce qu'on appelle « centralisé », c'est l'utilisation par les internautes d'adresses internet ou de service unique d'une entreprise.

Par exemple, lorsque les internautes vont sur les sites de Facebook, Twitter, mais aussi Telegram, Crowdbunker, etc, tous ces sites sont centralisés par une adresse unique ou un société unique. Ce sont ces sociétés qui sont menacées d'amendes record par la commission européenne et les différents États qui la composent dont la France.

Une alternative pourrait être d'utiliser des VPN et d'aller consulter ces sites hors d'Europe. Mais là encore, nos gouvernants semblent vouloir s'en prendre aux VPN. Et puis, tous les internautes n'ont pas recours à des VPN… Un sur cinq, un sur 10 ? Ça veut dire que les autres internautes (la majorité) va subir la censure via des services centralisés.

Quels sont les services décentralisés ?

Il y a quelques années, les services de « peer to peer », de téléchargement de films de « pair à pair » étaient des services décentralisés (puis l'intérêt de faire du téléchargement illégal, que ce soient des films ou de la musique, a diminué chez les internautes, puisque des offres gratuites sont apparues).

C'est ce type de décentralisation qu'il faut remettre d'actualité.

Avant, les internautes s'échangeaient des fichiers. Maintenant, les internautes devraient pouvoir s'échanger des informations.

Un de ces services décentralisés existe déjà : Mastodon, mais prudence…

Techniquement, le service existe, mais de manière incomplète.

Mastondon se veut en quelque sorte un concurrent de X (anciennement Twitter).

Sauf qu'eux-mêmes, ces administrateurs pratiquent la censure, soit de manière directe et brutale en censurant et excluant certains de leurs memebres, soit de manière plus pernicieuse en menaçant de couper les liens avec d'autres instances Mastodon qui ne censureraient pas les personnes qu'ils désignent.

Notre solution technique permettra d'empêcher ces différentes formes de censure.

Recours à un réseau secondaire de serveurs

Ce seront les ordinateurs des participants à ce futur sous-réseau à construire. Il n'y aura pas un serveur central unique mais plusieurs mini-serveurs qui changeront au fil de la journée (certains s'allumeront, d'autres s'éteindront). Ce type de réseau sera considérablement plus difficile à censurer, puisque personne ne pourra prévoir quels ordinateurs seront allumés et partageront leurs data.